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Hématologie
ORIENTATION
DIAGNOSTIQUE ET CONDUITE A TENIR DEVANT UNE DYSGLOBULINEMIE MONOCLONALE
Définition,
Intérêt
Circonstances de Découverte
Immunoglobuline G, Immunoglobuline
A
Macroglobulinémie de Waldenström
Les
maladies des chaînes lourdes
Les gammapathies monoclonales accompagnatrices
Conséquences
pathologiques
CIRCONSTANCES
DE DECOUVERTE:
L'électrophorèse
des protéines sanguines
Nous supposons
que le diagnostic de dysglobulinémie monoclonale a été
posé par une électrophorèse à titre systématique,
soit dans le cadre du bilan d'une VS augmentée ou d'une hypogglobulinémie,
soit pour préciser un état pathologique.
En effet, la constatation sur une simple électrophorèse
des protéines sanguines d'un pic étroit et symétrique
de siège variable (ß ou g) selon l'immunoglobuline concernée,
situation fréquente en clinique, suffit. Notons que la quantification
de cette immunoglobuline, mais aussi de la quantité des immunoglobulines
résiduelles est possible par intégration du diagramme.
Il faut noter que l'absence
de pic en cas de symptomatologie caractéristique est le fait d'une
sécrétion trop faible pour être retrouvée ou
de la sécrétion unique de chaînes légères.
L'immunofixation se
propose ensuite de typer l'immunoglobuline et d'en prouver le caractère
monoclonal (un seul type de chaîne lourde, un seul de type de
chaîne légère).
Dans le même temps, une
immunofixation des urines concentrées est nécessaire
à la recherche d'une protéinurie de Bence Jones (BJ)
Selon le
type d'immunoglobuline retrouvée,
on peut évoquer une maladie donnée:
Immunoglobuline
G, Immunoglobuline A
Macroglobulinémie de Waldenström
Les
maladies des chaînes lourdes
Les gammapathies monoclonales accompagnatrices
Dernière
modification de cette fiche : 27/08/2007
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