Accueil

   Nos Fiches Maladies
   par spécialités

      - Cardiologie
      - Endocrinologie
      - Hématologie
      - Hépato-Gastro-Entérologie
      - Immunologie
      - Maladies infectieuses
      - Neurologie
      - Pneumologie
      - Rhumatologie
      - Urologie - Néphrologie

   Associations & fiches lecteurs

   Sélection de Livres

 
Partager
    



 

Enquête : MEDinfos et vous

Charte Ethique

Annonceurs



> Neurologie

SYNDROME DE LA QUEUE DE CHEVAL

Définition, Intérêt, Physiopathologie
Circonstances de Découverte

Diagnostic Différentiel
Diagnostic Etiologique
Conclusion





Publicité
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL

Les lésions plexulaires lombo-sacrées lors des tumeurs du petit bassin, des complications de la radiothérapie ou de certains traumatismes entraînent parfois des tableaux proches de celui du syndrome de la queue de cheval. Il ne s'agit pourtant pas d'une atteinte polyradiculaire mais d'une lésion du tronc des nerfs dans le petit bassin.

Le syndrome du cône terminal est parfois très proche du syndrome de la queue de cheval mais s'en différencie par l'atteinte possible du psoas et des adducteurs et l'existence d'un syndrome pyramidal. Les troubles génito-sphinctériens sont aussi précoces et sévères.

Dans les polyneuropathies, il n'y ni anesthésie en selle, ni troubles sphinctériens.

Une impuissance, des troubles urologiques ou une douleur du périnée doivent faire rechercher une autre étiologie qu'un syndrome de la queue de cheval quand ils sont isolés.

Les plaintes fonctionnelles des pathologies urologiques sont plus importantes car le patient ressent toujours le besoin d'uriner.

Dernière modification de cette fiche : 26/10/2007


 Auteur : Equipe Médicale Medinfos

 

    © 1999-2019 PL HL - Notice légale
Haut de page